Comme première réaction, je dirais qu'ici, "le flottant" cache "le monde"... Les deux créent le mystère.
Analyse intéressante. Il y a beaucoup de vrai dans cette lecture (de plus, elle m'apporte un "regard"). La base du travail est le "Monde flottant" de l'Ukiyo-e japonais du XVIIème siècle, juste avant qu'il ne devienne celui des estampes japonaises érotiques. Ukiyo-e, c'est l'éphémère, la vacuité. Effectivement, qu'il s'agisse de la survie, des fenêtres, des disparitions, c'est ce que, dans un environnement complexe, ce que nous regardons, ce dont nous nous souvenons.